Et voici le texte de Philippe Mias
RYC TRIP AT ROCA
Ce premier contact réel avec le RYC aura été un ravissement... Et lorsque
j'ai dû quitter - avant la fin - une petite souffrance...
Un séjour dans le « Château » je n'en revenais pas, moi qui il y a deux ans
logeait juste en face, de l'autre coté de la vallée, admirant ce lieu que je pensais « inaccessible, réservé, fermé... »
Et la compagnie, de « belles » personnes, et pas que belles... drôles, vivantes, à l'énergie et l'enthousiasme communicatif, dotées de cette volonté de partage et d'altruisme qui aplani tout souci.
Le tout début de mon séjour, lorsque les amis n’étaient pas encore arrivés, a
été tout de suite de « very high level », découverte de ce gîte exceptionnel, avec l'euphorie d'un cocktail « rosé / oranges sanguines »
Je passe sur les huîtres irréelles dans ce lieu, sur les généreuse pâtes «
à la Gildas » ...d'une texture très rare pour moi qui court l'Italie et rentrait de Toscane !
Le soir de la procession aura aussi été riche de sensations, de visions
étranges et envoutantes pour moi qui suis si étranger à ces évènements, à
cet univers.
Que de beauté...
Et enfin ce court mais fort moment avec Ronan. Promesse d'autre lieu, d'autres « moments de grâce ».
Que dire, je me suis senti immergé et heureux dans un monde pour moi nouveau.
Tout était bien, pas une fausse note ! D'où cette petite souffrance quand c'était fini ! Calmée par un rêve d'Ouessant en hiver... Un désir d'Ouessant en hiver...
Une joie et une souffrance ; on connait.
Et puis c'est encore et toujours plus vrai tant qu'il y a du désir, il y a de la vie... ça va bien avec ce slogan « le RYC essaime et s'aime »
Et c'est bien. Et c'est rare. Et donc c'est précieux.
Comme l'amour ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire